L’Université de Lomé à travers le CERViDA-DOUNEDON co-abrite le nœud Afrique de l’Ouest Future Earth
L’Université de Lomé à travers le Centre d’excellence régionale sur les villes durables en Afrique (CERVIDA-DOUNEDON) de l’Université de Lomé est retenu pour co-abriter avec l’Université de Cape Coast ( Ghana), le nœud régional Future Earth Hub (FEAH) pour l’Afrique de l’Ouest.
Ces deux structures de formation et recherche ont été sélectionnées parmi 25 institutions ayant répondu à l’appel à candidature de la National Research Foundation (NRF), le Centre du Secrétariat mondial de Future Earth pour l’Afrique, basé en Afrique du Sud.
Le choix porté sur le CERViDA-DOUNEDON est le fruit de l’expertise de l’Université de Lomé et de son engagement à faire progresser la recherche pluridisciplinaire ainsi que des activités intersectorielles et institutionnelles liées à la durabilité dans la sous-région ouest africaine.
Avec cette nouvelle responsabilité, le CERViDA-DOUNEDON entend soutenir et promouvoir les efforts de mise en œuvre des programmes du Secrétariat mondial de Future Earth Africa au niveau régional, renforcer les réseaux de connaissances, l’accès aux infrastructures et améliorer la coopération entre les régions d’Afrique et du monde en soutien à la vision de la FEAH.
Pour rappel, le Future Earth est une initiative mondiale qui vise à faire progresser la science du développement durable, à promouvoir des connaissances rigoureuses et pertinentes sur les défis mondiaux de la durabilité, à assurer le développement et la croissance d'approches de recherche transdisciplinaires qui intègrent systématiquement les sciences naturelles, sociales, techniques et humaines. Tout ceci dans un contexte innovant au sein d'autres secteurs de la société pour développer des perspectives axées sur les systèmes, produits, plateformes, méthodes et outils qui soutiennent les parcours de durabilité.
Annoncé en juin 2012 lors de la Conférence des Nations unies sur le développement durable (Rio+20), le Future Earth est opérationnel depuis de 2015 et dispose de plusieurs structures de recherche dans plus de 20 pays répartis dans les neuf centres de secrétariat mondiaux à savoir le Canada, la Chine, la France, le Japon, l’Asie du Sud, la Suède, la Taipei, les États-Unis et l’Afrique du Sud.